mercredi 28 novembre 2007

L'émotion d'hier

Béjart n'est pas mort. En tout cas hier soir, sur la scène de Wolubilis (la nouvelle salle bruxelloise), 20 danseurs du ballet number one en Italie incarnaient un Roméo et Juliette incandescent, brillant, fluide, puissant, avec l'inégalable musique de Prokofiev. Une énergie incroyable. L'ombre de Béjart… Et tout à coup la rockeuse redécouvre le plaisir de la musique classique. COmme quoi on peut aimer Benabar, Olivia Ruiz, Julien Doré, les Babyshambles et Prokofiev. Et Chopin. Et Bach. Et Mozart, oh oui Mozart.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Lire le blog en entier, pretty good